The white cube sentence , Franck Lesbros, AtelieRnaTionnal 2013

THE WHITE CUBE SENTENCE, 2013

Exposition du 21 janvier au 02 février 2013
Vernissage le lundi 21 janvier à partir de 18h 30

http://www.francklesbros.com/

http://www.galeriedutableau.org

Heures d’ouverture de la galerie :
de lundi au vendredi de 10h à 12h et de 15h à 19h.
Le samedi de 10h à 12h et de 15h à 18h

mai 022012

.Land no more

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LAND NO MORE est une performance live vidéo/vocalises mettant en scène l’image en un seul plan séquence filmé par Franck LESBROS, et le son composé par Emilie LESBROS.  La performance allie la déconstruction filmée d’un paysage à la composition d’une bande son. Le spectateur a le choix d’assister ou au tournage sonore et visuel de la vidéo ou à sa projection immédiate dans l’espace. La musique et l’interprête ne sont pas ajoutés de façon didactique au film en cours, ils sont inclus dans l’image et participe au film qui se joue

Performance réalisée dans le cadre de l’exposition collective « A la palourde heureuse, sous l’autoroute la plage » pour le Printemps de l’Art Contemporain (PAC 2012)
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juin 022011

Performance (extraits) Vidéo/Vocalise de Helga Davis (NYC) & Franck Lesbros sur une durée totale de 20 minutes

sept 132010

Crimorama - Franck Lesbros - Atelier National

Franck Lesbros, Crimorama, exposition à l’AteliernaTional, 2010

Qu’un ouvrage ne se fige pas une fois le geste arrêté est une préoccupation majeure au sein des tentatives plastiques de franck Lesbros. Il cherche à donner à ses recherches visuelles la capacité de rebondir, de faire en sorte que l’image engendrée possède non pas un, mais plusieurs degrés de lecture. La définition claire d’une proposition picturale ne l’intéresse pas, il lui préfère de loin le trouble, le pas complètement palpable, il a la hantise du « ah ! C’était donc ça », il souhaite prolonger le temps de contemplation par le questionnement. L’œuvre d’art qui n’a qu’une signification évidente est, ou ennuyante, ou publicitaire.

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Au titre de ses influences, on peut citer Jeff Wall pour ses tableaux photographiques et sa filiation avec la peinture classique, Gregory Crewdson pour le cinéma injecté dans ses compositions photographiées, Marina Abramovic pour ses performances et leurs aspects chorégraphiques.