The white cube sentence , Franck Lesbros, AtelieRnaTionnal 2013

THE WHITE CUBE SENTENCE, 2013

Exposition du 21 janvier au 02 février 2013
Vernissage le lundi 21 janvier à partir de 18h 30

http://www.francklesbros.com/

http://www.galeriedutableau.org

Heures d’ouverture de la galerie :
de lundi au vendredi de 10h à 12h et de 15h à 19h.
Le samedi de 10h à 12h et de 15h à 18h

oct 112012

Cedric Ponti & AtelieRnaTional

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L’AtelieRnaTional participe à la 14ème édition des OUVERTURES D’ATELIERS d’ARTISTES avec Pascale Duvivier, Franck Lesbros et Jean-François Roux, artistes de l’atelier et Dominique Castell et Pascale Mijares , artistes invitées.
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L’AtelieRnaTional est  un espace tourné vers la création contemporaine. Il est le fruit d’un regroupement de plasticiens et designers qui souhaitent proposer un lieu pluridisciplinaire souple et adaptable aux besoins et disciplines de chacun. Sa superficie de 435 m2 est organisée afin de pouvoir conjuguer ateliers de production et espace d’exposition. Il offre ainsi une plateforme ouverte aux explorations et expérimentions que ce soit pour les artistes ou le public, et espère être un relais, un support propice aux échanges d’idées et de pratiques. L’AtelieRnaTional organise également des évènements pour présenter plasticiens, musiciens, danseurs, écrivains, architectes… Il a la possibilité d’accueillir des artistes en résidence, soit autour d’outils de production (sérigraphie, bois, métal, peinture…), soit dans le cadre d’expositions en proposant à des artistes français ou étrangers d’investir le lieu.

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L’AtelieRnaTional sera ouvert les samedi 22 et dimanche 23 septembre de 14h00 à 20h00.

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L’AtelieRnaTional est à la recherche d’un membre permanent , de résidents ponctuels ou occasionnels, et peut mettre à disposition les ateliers techniques (sérigraphie, métal….) ou de l’espace de monstration. Tarifs en fonction de la durée ou des besoins.

De gauche à droite de haut en bas : Pascale Duvivier, Dominique Castell, Jean-François RouxFranck LesbrosPascale Mijares.
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L’AtelieRnaTional participe à la 14ème édition des OUVERTURES D’ATELIERS d’ARTISTES
avec :

Les artistes invitées sont :

Mais aussi le travail en cours des autres membres et les éditions de l’AtelieRnaTional.

L’AtelieRnaTional sera ouvert les samedi 22 et dimanche 23 septembre de 14h00 à 20h00.

AtelieRnaTional & OAA 2012

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L’AtelieRnaTional participe à la 14ème édition des OUVERTURES D’ATELIERS d’ARTISTES
avec :

Les artistes invitées sont :

L’AtelieRnaTional sera ouvert les samedi 22 et dimanche 23 septembre de 14h00 à 20h00.

© Justine Xavier-Cochelin
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En parcourant des blogs, je collecte des images personnelles de familles qui mettent à la vue de tous des moments de leur intimité*.
Dans l’intention de peindre le regard s’exerce, esquisse et traque ce que j’appellerais le « potentiel pictural » des images. Ces photographies sont brutes, triviales, souvent naïves et la plupart du temps inconscientes de ce qu’elles produisent ou de ce qui se produit en elles. Pour celui qui est sensible à leur étrangeté et à leur part de monstruosité, des failles apparaissent alors, et la peinture dans sa capacité à inquiéter le visible se glisse dans la brèche. Sous les couches de peinture une angoisse se fait sentir, entre ce que nous raconte la peinture brute et ce que nous disent les images. La matière tend à accentuer le trouble et la part de fantasme déjà projeté dans l’image à travers la collecte. Transformés ainsi, les sujets apparaissent difficilement, ils sont non identifiables et réductibles à une extériorité distante.
Au fil des blogs, les mêmes scènes se rejouent sans cesse. C’est alors que je décline des séries de peintures aux thématiques redondantes et aux apparences insignifiantes. Comme un écho à la trivialité de ces visions prolifiques qui deviennent, au fil de la recherche de plus en plus obsessionnelles. La série est ici envisagée comme la possibilité de rendre compte au mieux de ce qui nous échappe dans ce fouillis d’images, sans cesser d’interroger la peinture.
Justine Xavier-Cochelin
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© Justine Xavier-Cochelin
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En parcourant des blogs, je collecte des images personnelles de familles qui mettent à la vue de tous des moments de leur intimité*.
Dans l’intention de peindre le regard s’exerce, esquisse et traque ce que j’appellerais le « potentiel pictural » des images. Ces photographies sont brutes, triviales, souvent naïves et la plupart du temps inconscientes de ce qu’elles produisent ou de ce qui se produit en elles. Pour celui qui est sensible à leur étrangeté et à leur part de monstruosité, des failles apparaissent alors, et la peinture dans sa capacité à inquiéter le visible se glisse dans la brèche. Sous les couches de peinture une angoisse se fait sentir, entre ce que nous raconte la peinture brute et ce que nous disent les images. La matière tend à accentuer le trouble et la part de fantasme déjà projeté dans l’image à travers la collecte. Transformés ainsi, les sujets apparaissent difficilement, ils sont non identifiables et réductibles à une extériorité distante.
Au fil des blogs, les mêmes scènes se rejouent sans cesse. C’est alors que je décline des séries de peintures aux thématiques redondantes et aux apparences insignifiantes. Comme un écho à la trivialité de ces visions prolifiques qui deviennent, au fil de la recherche de plus en plus obsessionnelles. La série est ici envisagée comme la possibilité de rendre compte au mieux de ce qui nous échappe dans ce fouillis d’images, sans cesser d’interroger la peinture.
Justine Xavier-Cochelin
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mai 022012

.Land no more

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LAND NO MORE est une performance live vidéo/vocalises mettant en scène l’image en un seul plan séquence filmé par Franck LESBROS, et le son composé par Emilie LESBROS.  La performance allie la déconstruction filmée d’un paysage à la composition d’une bande son. Le spectateur a le choix d’assister ou au tournage sonore et visuel de la vidéo ou à sa projection immédiate dans l’espace. La musique et l’interprête ne sont pas ajoutés de façon didactique au film en cours, ils sont inclus dans l’image et participe au film qui se joue

Performance réalisée dans le cadre de l’exposition collective « A la palourde heureuse, sous l’autoroute la plage » pour le Printemps de l’Art Contemporain (PAC 2012)
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AtelieRnaTional, désireux de garder une cohérence avec sa programmation et son identité, lance pour cette nouvelle édition du Printemps de l’Art Contemporain un appel à projets pluridisciplinaires sur la thématique proposée « Sous le sable » mettant à disposition son atelier de recherche, de production ainsi que son espace d’exposition. L’appel à projet se construira autour des notions telles que : le grain de sable comme élément perturbateur, le ratage, la rupture mais aussi l’idée de «sous» comme envers du décor, de l’autre côté de… L’exposition abordera ces différentes thématiques par de multiples médiums tant visuels que performatifs.

AtelieRnaTional, eager to maintain consistency between it programming and identity, is putting out a call, on the occasion of the Marseille Spring of Contemporary Art, for multidisciplinary projects based on the theme  » Under the Sand « . It will provide a workshop for research and production as well as an exhibition space. This call for projects will be based on notions such as the grain of sand as a disturbing element, failure, rupture, and the idea of  » under  » as that which is behind the scenes or on the other side… The exhibition will address these different themes through multimedia that is both visual and performative.

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Construcciones y otros espacios

C’est principalement avec du bois, du papier, du plâtre et du métal que Marta Rueda met en scène des espaces à vivre imaginaires. La photographie est son moyen favori de captation du réel. S’opèrent ensuite d’incessants allers-retours entre le dessin et la sculpture.

Les dessins préparatoires sont des sculptures en puissance et les sculptures très graphiques contiennent des dessins. Restitution d’un regard structurel sur le monde et valse de titres singuliers.

Dans les premiers travaux de l’artiste espagnole, la maison semble envisagée comme une métaphore de la vie intérieure, avec son organisation et sa fonctionnalité. En se demandant ce que nous pouvons faire d’un lieu de vie et ce qu’on en fait vraiment, elle étend un regard bienveillant sur les éléments les plus simples de notre confort quotidien. Ainsi érige-t-elle des foyers autobiographiques et anonymes que chacun peut investir de sa propre interprétation.

Sylviane Laurette, mars 2012